Les abeilles vont mal. La mortalité est importante dans les colonies. D’après un article paru dans la Tribune-le Progrès, « la perte est aujourd’hui évaluée en France à 30% par ruche. » L’apiculture « connaît une grave crise avec une production divisée par deux entre 1995 et 2012. » Le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll tente de rassurer la filière en annonçant « un plan de développement durable de l’apiculture. » Ce dernier semble ne pas satisfaire les représentants des apiculteurs qui réclament « la suppression des néonicotinoïdes (insecticides à l’origine de l’hécatombe). » Le ministre a préféré ménager les industriels de la Chimie en proposant la création d’un Observatoire des résidus pesticides dans l’alimentation de l’abeille. Le problème semble complexe car selon l’agence de sécurité sanitaire des aliments, la surmortalité des abeilles serait « aussi due à des agents biologiques, à la disparition de leur environnement et aux pratiques apicoles. »
Markus Imhoof, réalisateur du documentaire « Des abeilles et des hommes », nous explique que « les abeilles meurent à cause des pesticides qui empoisonnent les plantes et les pollens, à cause des monocultures qui font disparaître des fleurs. Les abeilles ont faim. Elles meurent de maladies, du parasitisme des acariens varroas qui déciment les colonies. Il faut aussi parler de la consanguinité qui les affaiblit. » Le défi est de taille. « Si les infatigables travailleuses venaient à disparaître, notre alimentation de produits végétaux se réduirait de 80%. » Nous n’en sommes pas encore là mais la situation est suffisamment grave pour que nous écoutions avec plus d’attention les apiculteurs.
Comme le disent nos amis de CasaPound Italia, « l’écologie n’est pas une kermesse de petits mots doux, avec ses chiens-chiens à sa mémère, ses petits matous choupinoux, ses tigrous tout mignons ou ses oursons à croquer. Ce n’est pas non plus une occasion de créer la énième structure bureaucratique, parasitaire, partitocrate, et affairiste. Ce n’est pas plus le déversoir d’un nouveau moralisme, d’obsessions talibanes, de postures intolérantes. » « La nature exceptionnelle de l’homme dans la nature » nous oblige à être responsable avec notre environnement tout en tenant compte de sa diversité, de son équilibre. L’homme moderne a le devoir de repenser sa place et ses activités dans le respect de ses terroirs et des cycles naturels. Selon Julien Langella, l’écologie réelle est pour « la défense farouche de l’intégrité biologique, végétale, géographique et esthétique de nos campagnes (semblable à la défense de notre identité). » La vraie écologie « est conservatrice, identitaire, traditionnelle et protectionniste. Bref, « réac » ou « facho » pour l’abruti moyen. » Nous sommes loin de l’écologie-bisounours favorable au nomadisme et à une approche globalisante.
Vincent
En Allemagne, la communauté musulmane s’élève à 4% de la population. Les musulmans qui vivent chez nos voisins germains sont surtout originaires de Turquie, d’Iran, du Maroc et d’Afghanistan. Comme chez nous, les tensions causées par l’islam sont très présentes dans la société allemande même si elles sont moins importantes. En 2000, le CDU (Parti chrétien démocrate), qui s’opposait aux Verts et aux socialistes, favorables sans condition préalable à une Allemagne multiculturelle, a exigé des immigrés « un minimum de loyauté envers les valeurs existantes dans le pays d’accueil et en acceptant les critères de notre culture occidentale et chrétienne, marquée par la tradition du mouvement européen des Lumières. » Les Allemands, plus attachés à leur germanité et à leur identité, essayent de trouver une voie intermédiaire entre multiculturalité et nationalisme. Malgré cette vigilance, le gouvernement d’Angela Merkel a reconnu que la criminalité des jeunes issus de l’immigration augmentait fortement au point d’en devenir préoccupant et inquiétant. De ce triste constat, le ministre-président de Bavière, Günther Beckstein, a proposé aussitôt un durcissement concernant les expulsions des délinquants étrangers. A Neukölln, quartier berlinois, où près de 50% de la population est d’origine étrangère, les problèmes se multiplient. Treize établissements scolaires font appel à des vigiles pour assurer la sécurité des enseignants, des élèves et des parents. Sans atteindre la situation difficile de certaines cités françaises, Neukölln représente pour beaucoup d’Allemands l’échec de l’intégration des musulmans. Mais comme en France, les problèmes liés à l’islam sortent de leur cadre naturel et deviennent plus complexes. De nombreux jeunes allemands, paumés et sans repères, se convertissent à l’islam. En 2007, ils étaient 4000 à se tourner vers le Coran pour donner un sens nouveau à leur vie. Selon la sociologue Monika Wolfram-Sahr, la conversion leur permet « de surmonter une crise personnelle tout en se distinguant » du reste de la société. L’assurance et le prosélytisme féroce de l’islam redonne confiance à des personnes confrontées à la dégénérescence des valeurs occidentales, qui pour beaucoup appartiennent désormais au passée. L’islam représente la force et la fierté alors que l’Occident et le christianisme se complaisent dans la repentance et la faiblesse. Ce désastre culturel pousse malheureusement de plus en plus d’Européens à devenir des convertis purs et durs, sensibles aux idées extrémistes des radicaux islamistes, trop heureux de pouvoir recruter de nouveaux pantins parmi les mécréants qu’ils combattent. C’est aussi pour cette raison que les Identitaires essayent de fédérer les Européens autour des valeurs et principes hérités de notre civilisation. Face au mépris de nos élites, face à cette parodie d’Union européenne et face au danger que représente l’islamisation de notre continent, les peuples d’Europe doivent être unis. La rencontre de foot qui a opposé la France à l’Allemagne mercredi dernier nous donne l’occasion de le rappeler.
Vers 1450, Charles Ier duc de Bourbon et comte de Forez désira faire l’inventaire de ses places fortes. Il désigna le héraut d’armes Guillaume Revel pour réaliser l’énorme travail. A l’origine la fonction des hérauts était étroitement liée au monde de la chevalerie et de la noblesse. Ils étaient chargés d’identifier les armoiries des combattants sur les champs de bataille et lors des tournois. Au fil du temps, les hérauts vont prendre de l’importance. Ils encadrèrent les cérémonies princières. Ils tinrent des activités diplomatiques et furent employés pour délivrer des lettres en période de guerre ainsi que des lettres de défi. Ils étaient protégés par l’immunité que tous leur reconnaissaient. Parfois, ils étaient chargés de proclamer les trêves et la paix. Ils pouvaient aussi délivrer des sauf-conduits et préparer des rencontres entre belligérants. Ils prirent rapidement une place importante auprès des princes et des puissants seigneurs. Ils étaient des hommes cultivés comme le héraut du duc de Bourgogne Philippe le Bon, Jean Le Fèvre de Saint-Rémy ou Gilles le Bouvier, le héraut du Berry.
Depuis des années, la France doit faire face à une forte progression de la polygamie et à un détournement des prestations sociales perçues frauduleusement. A l’heure où la gauche française estime qu’il est prioritaire de se mobiliser pour le mariage homosexuel, les hôpitaux sont de plus en plus confrontés à des pratiques et coutumes importées d’Afrique, comme l’excision. En 2006, notre pays a connu 70000 mariages forcés Un article de l’hebdomadaire Lyon Capitale, paru en février 2007, craignait que près de « 2500 fillettes, issues de l’immigration, soient exposées à un risque d’ablation du clitoris. » Deux ans plus tôt, Lyon Capitale constatait qu’un nombre de plus en plus élevé de femmes se faisaient « refaire l’hymen dans des cabinets de gynécologie. » Ces actes peuvent nous indigner et pourtant il va falloir s’y habituer. Ils sont en progression car nos dirigeants n’ont aucune volonté pour s’y opposer. La CAF et la Sécu payent sans jamais se poser de questions Devant cette démission de nos élites, les problèmes issus de l’immigration risquent malheureusement de s’implanter durablement en France. Ceux qui osent dénoncer ces pratiques se voient immédiatement attaqués avec violence par SOS Racisme qui déclare haut et fort que ce n’est « qu’une grossière volonté de détourner l’opinion publique des vrais problèmes. »
