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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 01:54

Le Bloc Identitaire Lyon et les jeunes identitaires de Rebeyne ont commencé la campagne d'affichage "Hollande n'est pas mon président".

 

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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 22:57

La haine c’est vous

 

- Pourquoi tu dis « Je me fais agresser par des Arabes et des Noirs » et pas « par des pauvres » ?

- Parce que je suis loin d’être riche et que je n’agresse personne, comme énormément d’autres. Parce qu’ils ont bien plus d’argent que moi, vu leurs voitures et leurs fringues. Parce que ce sont systématiquement des Arabes et des Noirs, qui souvent hurlent « Sale Blanc ». Parce qu’ils n’agressent jamais ou presque d’autres Arabes ou Noirs, même riches.

- Mais pas besoin d’insister sur leurs origines, on est tous pareils au fond, peu importe le sexe, la couleur…

- Alors pourquoi dire que ce sont des pauvres ? En plus d’être faux, t’as pas peur que ton propos « stigmatise » l’ensemble des pauvres ? On doit dire quoi, « des humains ont agressé un autre humain sans raison apparente. » ? Ou, pour aller au bout de ta logique, « Un être vivant est entré en conflit avec un autre être vivant » ?

- Franchement j’ai lu ton texte sur Merah, t’exagères sérieux…

- Oui j’exagère. La plupart ne vont pas jusqu’à tuer des enfants, ils ne font que taper dans le ventre d’une femme enceinte.

- Il y en a beaucoup qui n’agressent personne enfin !

- Oui, et ceux-là ne brandissent pas de drapeaux maghrébins dans la rue. Et beaucoup m’envoient des mails de soutien. Tu saisis la différence ? Je dis « Les racailles sont presque toutes des Arabes et des Noirs », pas « Les personnes noires et arabes sont presque toutes des racailles », A implique B n’est pas équivalent à B implique A, c’est de la logique élémentaire.

- Donc c’est une minorité tu le reconnais.

- Non. D’après mes observations, mon vécu, ce qui est minoritaire c’est une bande d’Arabes et de Noirs qui vont en ville sans faire chier personne.

[...]

 

Lire la suite sur "L'horreur du château"

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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 21:21

 
Communiqué de presse du 26 mai 2012

Hollande n’est pas mon président : rassemblement à Paris !

 

Dans le cadre de la campagne “Hollande n’est pas mon président” lancée par les identitaires dès le lendemain de l’élection du président socialiste, les militants du Projet Apache et du Bloc Identitaire Paris – Ile de France organisent un rassemblement unitaire le jeudi 7 juin 2012 à 19h30 devant le siège du Parti Socialiste, rue de Solférino, à Paris.

Si comme nous vous avez été choqué par les nombreux drapeaux étrangers brandis pendant les célébrations de la victoire de François Hollande…

Hollande-copie-1.jpgSi comme nous vous pensez que le droit de vote aux étrangers est une mesure remettant définitivement en cause les liens fondamentaux entre identité, nationalité et citoyenneté…

Si comme nous vous pensez que le mariage et l’adoption pour les couples homosexuels représentent un danger pour la famille, cellule de base de la société…

Si comme nous vous pensez qu’il est grand temps de freiner l’immigration plutôt que de l’encourager, notamment par la régularisation des clandestins

Alors venez nombreux, au-delà des clivages et attaches partisanes, clamer avec nous que François Hollande n’est et ne sera pas votre président.

RDV jeudi 7 juin, 19H30, devant le siège du PS, rue de Solférino !



 


DIFFUSEZ, RELAYEZ, REJOIGNEZ NOTRE CAMPAGNE ET DITES AVEC LES IDENTITAIRES : HOLLANDE N'EST PAS MON PRÉSIDENT !

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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 20:32

P1010552-copie-2La France, depuis près de quarante ans, connait des bouleversements politiques, économiques, culturels, religieux et sociaux sans précédent. Entre la mondialisation suivie de ses nombreuses délocalisations, le dépeuplement et l’appauvrissement de nos campagnes, la création d’agglomérations tentaculaires, la perte de notre identité accompagnée d’une déchristianisation massive, l’absence volontaire de transmission de notre histoire, notre pays se voit malmené dans son unité, tandis que nos élites imposent et prônent le multiculturalisme. Pour la première fois de notre Histoire, le socle sur lequel nous voulons construire notre avenir s’appuie sur des piliers nouveaux. Démographiquement, le paysage de la population française se modifie ainsi que ses repères, ses principes et ses valeurs. Le département de la Seine-Saint-Denis en est l’un des tristes exemples. Terre d’immigration depuis le XIXème siècle, la France se voit confronter à un nouveau défi. Nos dirigeants se sont donnés comme objectif d’intégrer et d’assimiler des millions de personnes, provenant de civilisations différentes à celle existant initialement sur notre territoire, sans s’être préalablement poser la question de savoir si elle avait les moyens techniques, sociaux et financiers de réaliser une telle prouesse. Jamais les Français n’ont été amenés à réfléchir sur les conséquences d’un tel choix ! Jamais ils n’ont été amenés à se prononcer sur ces orientations ! Face à un communautarisme violent, né de ce choix désastreux, est-ce normal de ne pas pouvoir aborder, les problèmes liés à l’immigration, à l’islamisation de notre société, à la délinquance des « jeunes » issus des minorités, sans déclencher de multiples protestations et reproches, tout en étant victime d’insultes et de menaces ?

 

Qu’est ce qu’une société multiculturelle ? Que faire pour que l’idée de nation puisse encore fonctionner dans ce type de société ? Quels sont les risques et les chances d’une telle nouveauté pour notre pays ? Ces interrogations auraient mérité un débat sérieux et impartial. Nos dirigeants auraient dû réfléchir aux conséquences possibles et probables d’une telle politique avant de prendre des décisions menant à ce type de mixité ethnique et religieuse. Les leçons de l’Histoire ainsi que les exemples récents ne manquent pas. Le communautarisme est source de désagrégation des sociétés (Liban, Bosnie, Kosovo, Soudan, Mali, Thaïlande, Indonésie…). Il est judicieux et sage de se servir de l’expérience des autres pour éviter de reproduire les drames ayant bouleversé l’humanité.

 

Il a fallu attendre la fin de règne calamiteuse de Jacques Chirac, pour constater l’échec de notre politique d’intégration. Visible au quotidien à travers les multiples problèmes rencontrés dans de nombreuses banlieues, bien souvent devenues des zones de non droit, il a fallu attendre une dénonciation courageuse par certains de nos intellectuels et hommes politiques du bien fondé de cette belle idée qu’est la société cosmopolite, pour voir émerger un début de doute et de débat. Malheureusement, nous avons déjà changé en profondeur le paysage culturel, religieux, ethnique et social de notre pays sans vraiment prendre le temps d’analyser avec objectivité les résultats de nos politiques. L’avenir de nos enfants dépend de nos choix et nous avons tu volontairement, par lâcheté ou par indifférence, les dangers qu’ils auront à affronter demain. Franklin D. Roosevelt disait, « la seule chose que nous ayons à craindre est la crainte elle-même. »

 

Nous acceptons l’intolérable au quotidien parce que nous avons peur ! Il est grand temps de se faire respecter et de réapprendre à dire non. « Cessons de débecter notre passé et de battre notre coulpe sur les poitrines de nos ancêtres !...Evitons cette contrition imbécile qui devient l’alibi sentimental de la lâcheté. » Ces deux phrases du journaliste Claude Imbert, dans son éditorial du Point, paru en juillet 2005, nous mettaient en garde contre le dogme de la repentance dont sont victimes les sociétés occidentales. Avec les Identitaires, allons plus loin ! Demandons la fin des discriminations positives et opposons-nous avec force au racisme anti-blanc ! Faisons bloc face à l’immigration de peuplement, à l’islamisation de nos quartiers ainsi qu’à l’arrogance des « racailles » ! Luttons contre les revendications communautaires où qu’elles soient (cantines scolaires, hôpitaux, piscines publiques, monde de l’entreprise…) ! Opposons-nous au mondialisme par le localisme ! Redevenons des citoyens fiers et responsables, enracinés dans une histoire plus que millénaire ! L’avenir nous appartient si nous nous en donnons la peine.

 

Vincent

 

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22 mai 2012 2 22 /05 /mai /2012 17:57

Le département de l’Ain (590 000 habitants pour un territoire de 5762 km2), porte le nom de la belle rivière aux eaux claires qui le traverse du nord au sud avant d’aller se perdre dans le Rhône tumultueux. Il a été formé à partir de quatre pays aux caractères différenciés : la Bresse, la Dombes, le pays de Gex et le Bugey. Ces pays faisaient partie de la Bourgogne, une des grandes régions du royaume de France. Le département fait frontière avec la Suisse puisque il est limitrophe des cantons de Genève et de Vaud.

Ain 1

                       Au fil de l'eau, près de Pont d'Ain

 

Dans les temps anciens, quatre peuples gaulois  vivaient dans cette région : les Sequanes du sud, les Ambarres, les Ségusiaves et les Allobroges du nord. A la fin de l’Empire romain, les Burgondes, qui ont donné son nom à la Bourgogne, s’installent sur son territoire. En 534, Childebert et Clothaire, fils de Clovis soumettent la Bourgogne qui est alors intégrée au royaume des Francs. Au moyen-âge, après une série de guerres féodales qui opposent le Dauphiné à la Savoie, la quasi-totalité du département actuel passe sous la domination de la maison de Savoie.

Ce n’est qu’en 1601, par le traité de Lyon qui met fin à la guerre entre Henri IV  et Charles-Emmanuel, duc de Savoie et prince de Piémont, que les territoires qui correspondent approximativement au département actuel de l’Ain sont rattachés à la France. C’est sous la Révolution, en janvier 1790, que le département fut officiellement créé. Il est à noter que, sous le Consulat, le pays de Gex fut intégré à l’éphémère département du Léman, dont le chef-lieu était Genève, et qui disparut à la fin de l'Empire napoléonien en application du traité de Vienne de 1815.

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                       Bugey: le plateau du Retord

 

Bourg - en - Bresse est la seule ville d'importance du département, le reste du tissu urbain étant constitué de communes de taille modeste à vocation surtout rurale.  

Aujourd’hui l’Ain est devenu un département prisé des touristes pour la qualité de son environnement, le développement de ses structures et la variété de ses paysages.

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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 23:38

flyer-feria.png

Vendredi 18 Mai de 20h à 23h, La Traboule organise une soirée Féria. Une consommation sera offerte à chaque invité déguisé (haut blanc+foulard rouge). Venez nombreux fêter l’été avec nous !

 

Entrée gratuite avec la carte adhérent La Traboule.

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14 mai 2012 1 14 /05 /mai /2012 17:36

 

    Le département de la Loire se situe au carrefour de trois régions : Bourgogne, Auvergne et Rhône-Alpes. Il est traversé par un long fleuve au cours sinueux qui lui a donné son nom. Il fut crée le 19 novembre 1793, suite à la révolte de la ville de Lyon contre la Convention qui entraîna la mort du jeune département de Rhône-Loire. Mais au-delà de ce découpage administratif, à quoi ressemble la Loire géographiquement ? A-t-elle gardé une cohésion avec l’histoire de son territoire ?

Ce département est formé d’un relief montagneux, constitué de plateaux et de monts boisés, qui entourent du nord au sud les plaines du Roannais et du Forez. Comme tous les départements, celui de la Loire est composé de plusieurs pays. Pour connaître la diversité de son patrimoine, il faut apprendre à connaître ce qui le compose et lui donne forme. De cette façon, la réalité géographique permet de donner un sens à l’histoire.

Commençons notre découverte par le Roannais qui, au nord du département, est tourné vers le Charolais, le Bourbonnais et le Beaujolais. Paysage de bocage, la plaine roannaise vient prendre appui à l’ouest contre les monts de la Madeleine, culminant à 1164 mètres d’altitude avec le Bois de l’Assise à la Pierre du Jour. Au milieu du département, se trouve la vaste plaine forézienne. Elle est séparée du Roannais par le seuil de Neulize, un plateau de basse altitude, partagé en deux par la Loire. Possédant de nombreux étangs, aménagés dès le Moyen Age, la plaine du Forez se singularise par un relief basaltique avec les pics de Saint-Romain-le-Puy, de Montverdun, la butte de Montbrison et le dyke du Mont d’Uzore (long de 7 km). Entre les monts de la Madeleine et les monts du Forez, vient s’intercaler le massif des Bois Noirs avec le Puy de Montoncel, culminant à 1292 mètres. Créant une véritable frontière naturelle avec l’Auvergne, les monts du Forez connaissent un climat rude où la neige y est fréquente en hiver. Nommés « Montagnes du Soir », les monts du Forez sont longs d’une soixantaine de kilomètre en partant du nord au sud. De tout temps, ils furent un difficile obstacle pour la circulation. Restés sauvages, ces monts culminent à 1634 mètres avec Pierre-sur-Haute, d’où nous possédons une vue panoramique sur l’Auvergne, le Forez, le Lyonnais et les Alpes. Au dessus de 1300 mètres, nous avons des landes à bruyère où se trouvent les célèbres « jasseries », lieux d’estive où jadis toutes les fourmes de Montbrison et d’Ambert y étaient fabriquées. De nombreux ruisseaux et rivières coulent tranquillement ou s’encaissent parfois dans de profondes gorges pour rejoindre finalement la Loire. Du Puy Jametton, dernier contrefort des monts du Forez, nous descendons, par le canton de Saint-Bonnet-le-Château, en direction du sud, pour rejoindre les plateaux du Velay. A l’est, les monts du Lyonnais, appelés « Montagnes du Matin », sépare la plaine du Forez du Lyonnais. Plus au sud, au centre du pays des Trois Vallées (Furan, Gier, Ondaine), se trouve Saint-Etienne, la ville aux sept collines, traversée du sud au nord par le Furan, petite rivière lui ayant donné son premier nom à l’époque gallo-romaine : Furiana. Point de liaison entre les formidables gorges de la Loire, la plaine du Forez, les vallées du Gier et de l’Ondaine, et le Pilat, ce coin de Loire appartient à l’ancien pays de Jarez. Tout au sud du département, longeant la vallée du Rhône, le massif du Pilat, imposant avec ses forêts de sapins, domine une partie du Dauphiné de ses trois pitons : le Crest de l’Oeillon, celui des Trois-Dents et le dernier, le plus élevé, le Crest de la Perdrix, haut de 1432 mètres. Pour protéger le patrimoine de ce massif, le Parc naturel régional du Pilat fut créé en 1976. Il couvre 65000 hectares.

 

P1010389-copie-2.jpg

 

Toutes ces explications permettent de prendre conscience que les départements et les régions, parfois créés sans respect pour les terroirs anciens, enferment ou préservent une richesse culturelle et naturelle, garante de nos identités les plus profondes. Nous avons inventé le terme de Ligériens pour nommer les habitants de la Loire. Mais aujourd’hui, respectueux de leurs racines, nombreux de ces Ligériens continuent d’être avant tout des Roannais ou des Foréziens. Les révolutionnaires de 1789 ont dépecé les vieilles provinces historiques, pensant, à tort, qu’elles n’étaient que le reflet de l’Ancien Régime. La Loire s’est substitué au comté de Forez, duquel dépendait déjà, sous la seconde dynastie des comtes de Forez, le Roannais et le massif du Pilat. Cette vieille histoire, qui pourrait même nous ramener plus loin, avec les Ségusiaves, peuple gaulois, qui possédait le territoire couvrant les départements actuels du Rhône et de la Loire, nous enseigne que la majorité des Français sont profondément attachés à la terre de leurs ancêtres, celle qui vit à travers nos paysages et nos terroirs façonnés par la main des hommes, respectueux d’une tradition qui ne fait que nourrir nos âmes. Le géopoliticien Aymeric Chauprade, en nous parlant des théories du géographe Friedrich Ratzel, nous explique que « la situation géographique est une constante du sol qui traverse le mouvement de l’histoire. Situés en un certain lieu de la terre, peuples et Etats en reçoivent une certaine empreinte. » La France est riche d’une diversité dont elle doit se servir.

 

Vincent

 

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 23:40

Communiqué de presse du 7 mai 2012

Hollande n'est pas mon Président !


Avec 51 % des suffrages exprimés, le socialiste François Hollande a donc été élu Président de la République par les "Français".

Guillemets nécessaires car avec 49 % ayant voté pour son adversaire, 7 % de vote blanc ou nul, 19% d'abstention, 15 % de non-inscrits... ce ne sont en réalité que 32 % des Français en âge de voter qui se sont portés sur sa candidature.Hollande

Guillemets nécessaires aussi, car comme lors du 1er tour de cette élection, le vote ethnique s'est exprimé largement en faveur de François Hollande. Dans son programme, comme à travers son électorat, celui-ci était bien le candidat des immigrés. Ainsi, si le clivage droite-gauche apparaît largement obsolète sur le plan économique, il semble désormais réinvesti par la question identitaire.

François Hollande a été élu uniquement grâce à la déception énorme causée par le Président sortant, dans une France qui n'est pourtant pas acquise à ses idées ou son projet. Hier soir, comme nous, de très nombreux Français ont toute légitimité pour dire clairement "Hollande n'est pas mon Président !".
Ils seront bientôt rejoints par beaucoup d'autres, une fois la joie d'avoir chassé Sarkozy passée, en voyant le programme socialiste se concrétiser.

François Hollande ne résoudra aucun problème sur le plan économique et social. Il n'a pas le début du commencement du courage politique que cela nécessiterait. Alors il tentera de contenter son électorat sur le plan sociétal, et nous savons déjà que la régularisation des clandestins, le droit de vote accordé aux étrangers extra-Européens, ou encore l'accès au mariage et à l'adoption par les couples homosexuels seront parmi les premières réformes que la nouvelle majorité mettra en route.

Qui pourra les arrêter ? Aujourd'hui la gauche est hégémonique : à la tête de la majorité des grandes villes, des départements, des régions; majoritaire au Sénat et demain à l'Assemblée; toute-puissante dans les syndicats, la magistrature, les universités et les médias.

Ils ont pris les urnes, nous allons devoir résister dans la rue.

Parce que François Hollande et les socialistes doivent comprendre qu'ils n'ont pas reçu un blanc-seing pour leur politique folle mais ont juste profité du profond rejet de Nicolas Sarkozy, les Identitaires lancent dès aujourd'hui une grande opération "Hollande n'est pas mon président".

Au-delà des clivages et des attaches partisanes, nous souhaitons rassembler pour défendre nos valeurs profondes : la famille comme cellule de base et pilier de notre société; le lien fondamental entre identité et nationalité, entre nationalité et citoyenneté, et donc le refus du droit de vote des étrangers.

Ils sont déjà prêts à voter leurs lois, nous sommes prêts à défendre les nôtres, qui ne se fondent pas sur une précaire majorité électorale mais sur notre plus vieille mémoire et notre identité.

Pour commander les autocollants :
http://www.bloc-identitaire.com/produit/23/hollande-n-est-pas-president

Pour commander les affiches :
http://www.bloc-identitaire.com/produits/7/affiches

 

Voir le site web "Hollande n'est pas mon président !"
http://www.pasmonpresident.com/

Voir la page Facebook "Hollande n'est pas mon président !"
http://www.facebook.com/pages/Pas-mon-pr%C3%A9sident/106971866106878

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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 17:41

Nous n’avons plus d’illusions sur la capacité et la volonté de nos hommes politiques de répondre aux défis auxquels est confronté notre pays. A chaque période électorale la politique se transforme en cirque médiatique. Les promesses et les programmes démagogiques des candidats présents au deuxième tour sont largement relayés par les médias. Ceux-ci, en censeurs de la République, orientent les débats selon les dogmes de la nouvelle idéologie universaliste des Droits de l’Homme qui prône le développement des sociétés multiculturelles, au service d’une mondialisation tueuse des peuples et des nations.

En 1918, le très libéral président américain Woodrow Wilson faisait adopter la doctrine « du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. » Depuis, en Europe, au sein des démocraties dites libérales, cette liberté fondamentale est bousculée sans répit par la pensée unique et égalitariste de nos élites, par les lois du marché international, garantes d’un ordre planétaire au service d’une oligarchie de plus en plus éloignée des intérêts de leurs patries. Cette volonté de tuer les identités charnelles des peuples, fondées sur des principes, des traditions et des valeurs ancestrales, devrait nous alarmer. L’écrivain Yvan Blot nous explique que l’identité nationale s’appuie sur quatre pôles : la frontière, la souveraineté, la culture et l’ethnie qui forment la personnalité et l’âme des citoyens. Dominique Venner y ajoute le « roman national » défini comme « l’histoire des siens, de sa cité, de son peuple et de sa nation ». Sans ces piliers, la nation perd petit à petit ses racines. Dès lors, le présent ne peut plus être porteur de projets d’avenir.

Oser vouloir accorder le droit de vote aux étrangers pour les élections municipales, c’est prendre le risque d’accentuer volontairement les fractures communautaristes dont est déjà victime notre pays. Il est consternant de voir Nicolas Sarkozy, qui a mené une politique d’immigration catastrophique depuis cinq ans déjà, réagir seulement maintenant à la volonté des socialistes de se servir des étrangers à des fins politiques. Le samedi 10 mars 2012, se tenaient à Paris les Assises «  La France en danger ». Fabrice Robert y a déclaré avec conviction : « la lutte pour l’identité sera le grand combat du XXIème siècle. ». Quelques jours plus tard, un tragique fait divers est venu, à Toulouse, appuyer ses propos. Le tueur était un repris de justice multirécidiviste, connu des services de renseignements pour son fanatisme islamique. C’est l’illustration même de l’échec d’un système qui permet à n’importe qui de se retrouver l’heureux propriétaire d’une carte d’identité française.

Ce drame pose à nouveau la question de l’identité. Le « débat » ouvert sur ce thème par le gouvernement en 2010 n’a été qu’une mascarade et la montagne a accouché d’une souris. La sociologue Malika Sorel nous met en garde : « la politique d’intégration par la nationalité revient à placer la charrue avant les bœufs. Elle n’a aucune chance d’aboutir ! »  Sourde et déterminée, la pensée égalitariste, issue aussi bien du libéralisme anglo-saxon que du communisme, nous enseigne la repentance mais aussi l’ouverture obligée à l’autre, sans contrepartie. Cette valeur est devenue un mythe contre lequel vient se fracasser la fierté des peuples européens qui ne peuvent défendre ni leur singularité ni leur civilisation. Pourtant, l’âme de la France trouve ses racines dans la Grèce antique et dans le droit romain, dans la Gaule celtique et diverse, dans la christianisation de nos cités et de nos terroirs, dans le baptême de Clovis et l’empire de Charlemagne, dans l’épopée des croisades, dans la construction des cathédrales et les universités médiévales, dans le roman courtois et la geste arthurienne, dans la Guerre de cent ans et l’épopée mystique et patriotique de Jeanne d’Arc, dans la Renaissance et les châteaux de la Loire, dans le Versailles de Louis XIV, dans le siècle des Lumières et les conquêtes napoléoniennes, dans l’expansion coloniale et la révolution industrielle, dans le tumultueux apprentissage de la République et dans les deux grandes guerres du XXème siècle. Nous avons le devoir de défendre et transmettre cet héritage pour continuer à le rendre vivant.

P7212648 copie 3

 

En octobre 2011, lors des élections tunisiennes pour l’Assemblée Constituante, près de 33% des Tunisiens vivant en France ont voté pour le parti islamiste Ennahdha. Ces résultats ne sont pas le fruit du hasard et constituent un avertissement ! Nous ne pouvons pas imposer à un musulman, désireux de vivre selon les préceptes du Coran, de renier sa civilisation, de se reconnaître dans notre Histoire nationale, dans nos principes, comme nous ne devons pas être naïfs sur les motivations qui poussent le candidat socialiste à promettre le droit de vote des étrangers. Ce de quoi nous débattons à présent définira l’avenir de nos enfants. Il faut que soit reconnu « le droit des peuples à demeurer eux-mêmes. » Les Identitaires dénoncent le droit de vote des étrangers et proposent « une refonte immédiate du code de la nationalité. » Sans cela, se profile un risque de crises majeures en France et en Europe. Les guerres de la Bosnie et du Kosovo ne nous aurons décidément rien appris !

VINCENT, adhérent de la Loire

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19 avril 2012 4 19 /04 /avril /2012 23:05

Alors que la classe médiatique s’est empressé de “zapper” les évènements de Toulouse et de Montauban, et surtout le tueur et son profil, les identitaires lyonnais tapissent les murs de la ville.

Merah.jpg

 

ADDENDUM du 30/04  

Nos militants restent en activité, et après les grandes affiches place aux affichettes!collage.JPG

 

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