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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 22:51

Le Bloc Identitaire Lyon, continue sa mobilisation contre la venue du rappeur Kery James à Saint-Priest le 15 décembre pour un concert.

Thibaut, un militant lyonnais, explique en détail cette action contre son concert sur Tonic Radio.

 

Pour écouter l'interview cliquez ici.

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15 juillet 2012 7 15 /07 /juillet /2012 01:48

article 2506-cul16-james

 

L'article publié sur notre site à propos du futur concert du rappeur Kerry James à Saint-Priest, commence à porter ses fruits.

En effet, suite à sa publication, de nombreuses personnes ont envoyé leurs mails et coups de téléphone de doléances au théâtre Théo Argence et à la mairie de Saint Priest.

Suite à ces envois, la maire socialiste de St-Priest, Martine David, s'adresse au Bloc Identitaire par voie de presse interposée en indiquant que: "Le Bloc Identitaire n'est pas invité à définir la programmation du théâtre Théo Argence".

Pour cette dame: "Les paroles du texte expriment une colère mais qu'il ne s'agit là que d'un texte dans son ensemble".

Le rappeur Kerry James a donc le droit de s'exprimer au nom de la liberté d'expression.

C'est à croire que cette fichue liberté d'expression ne soit tolérée que dans un sens.

Continuons donc nos appels téléphoniques et envois de mails pour la déprogrammation dudit concert, mais également pour demander comment il se fait que nous ne soyons pas tous égaux face à cette liberté d'expression, évoquée par madame Martine David.

Tél. mairie de St-Priest:: 08-99-69-85-60

Mail du théâtre Argence: cliquez ici 

 

Merci pour votre implication dans ce combat.

 

Addendum article sur site Rue89Lyon: Cliquez ici 

 

001

 

Le Progrès du 14/07/2012

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10 juillet 2012 2 10 /07 /juillet /2012 17:09

Avant l’occupation romaine de la Gaule, le tracé des voies et des chemins était plus anarchique que sous l’empire romain. La division du territoire en un grand nombre de tribus ne permettait pas d’avoir des communications aussi établies qu’en Italie. En Forez, pays sous le contrôle des Ségusiaves, la Bolène apparaissait être une liaison entre leur capitale Forum Segusiavorum (Feurs) et Ruessio (Saint-Paulien), placée sous l’autorité des Vellaves, en passant par le mont des archers devenu aujourd’hui Montarcher. Le nom de ce chemin, Bolène, est sûrement d’origine médiévale. Trois possibilités peuvent nous donner l’origine du nom : la première serait celle de la voie des bornes militaires (placées tous les milles romains), la deuxième serait celle de la voie des bœufs (permettant le passage des attelages) et la troisième nous amène au mot bol signifiant hauteur ou voie de hauteur. A la période gallo-romaine, la Bolène a été intégrée à un plan de restructuration et de développement du réseau routier par Agrippa sous le règne de l’empereur Auguste (Ier siècle après J.C.). Elle prit une toute autre dimension en reliant désormais Lugdunum (Lyon) à Segodunum (Rodez) et à Tolosa (Toulouse) tout en tenant un rôle militaire et économique important.

 

voie-Bolene.jpg

 

Au Moyen-âge, le tracé resta semblable dans ses grandes lignes même s’il se trouva confronté à l’usure du temps et à une dégradation due à un manque d’entretien. La création de nouveaux centres commerciaux d’importances (Montbrison et Saint-Bonnet-le-Château) vont également créer de nouvelles voies de communication. La Bolène, qui était utilisée essentiellement dans un but militaire sous l’empire romain, devint un chemin de marchands et de pèlerins conduisant, pour certains, jusqu’à Saint-Jacques-de-Compostelle. La Table de Peutinger, carte exécutée au XIIIème siècle à partir d’une copie plus ancienne, permet de découvrir la voie Bolène sous l’empire romain. Nous retrouvons encore la trace de ce chemin historique sur le cadastre Napoléon du début du XIXème siècle.

Pour le Forez, cette voie Bolène est plus qu’une simple route, elle nous permet de traverser l’histoire de notre province en prenant conscience que chaque période de notre passé est intimement liée à un fil conducteur ; celui de notre héritage.

 

Vincent

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 juillet 2012 7 08 /07 /juillet /2012 22:54

 DSC 0074

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8 juillet 2012 7 08 /07 /juillet /2012 01:18

chant de maquis 

 

Nous sommes la jeune sève

De l'Antique Liberté,

Pour saboter la relève,

Nous avons fui la Cité.

 

Pour libérer la France,

Nous luttons et nous souffrons

Sur les sommets de la LANCE

Où se forment nos Bataillons.

 

Soutenus par tous nos frères,

Travailleurs et Paysans,

Nous préparons LA LUMIERE

Et le grand soulèvement.

 

Avec le coq des campagnes,

Nous chanterons le Réveil.

Derrière notre Montagne,

VA SE LEVER LE SOLEIL!

 

Les époques sont prochaines

Qui nous verront victorieux.

Nous descendrons dans la plaine

COMME UN TORRENT FURIEUX!

 

Quand sonnera la victoire,

Nous marcherons en avant,

NOUS PLANTERONS DANS L'HISTOIRE

LE DRAPEAU DES PARTISANS.

 

 

 

Sur L'air de Hardi Camarades, chant populaire de révolte.

Paroles de MAX, jeune maquisard de la Lance, disparu dans la tourmente.

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30 juin 2012 6 30 /06 /juin /2012 23:40

Communiqué du Bloc Identitaire Lyon

Le rappeur Kery James, connu pour son double langage sur la violence (car  parfois il se livre à des agressions à trois contre un comme en 2009) donnera un concert au théâtre Théo Argence de Saint-Priest le samedi 15 décembre  2012.. Le Bloc Identitaire Lyon, entreprend donc une action de déprogrammation dudit concert.

Les paroles de Kery James sont  un dénigrement systématique de la France et des Européens.

« Tous ces racistes à la tolérance hypocrite/ qui ont bâti leur nation sur le sang ». Paroles de Kery James sur son CD lettre à la République.

« Que personne ne s’étonne si demain ça finit par péter. Comment aimer un pays qui refuse de nous respecter ».Paroles à la limite de l’incitation à la haine.

 

Le Bloc Identitaire Lyon appelle donc tous les Lyonnais et Rhône-Alpins, et plus largement tous les citoyens se sentant concernés à informer la Municipalité et les gestionnaires du théâtre Théo Argence, avec courtoisie mais fermeté, qu’ils n’apprécient pas de se faire ainsi cracher dessus par un artiste en mal de reconnaissance.

Téléphone mairie St-Priest: 08-99-69-85-60

Mail du théâtre Argence: cliquez ici 

 

article 2506-cul16-james

 

Nous avons 6 mois pour le dissuader de sa venue ! 

 

 

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27 juin 2012 3 27 /06 /juin /2012 18:09

Communiqué de presse du 27 juin 2012

 

Carton rouge pour Nasri et les racailles ? Dehors !

 

Les Identitaires, qui organisent depuis plusieurs années un grand tournoi de football, se passionnent pour ce sport populaire. Comme tous les Français, nous sommes attristés de voir l'équipe de France prise en otage par des comportements de racailles, et gérée par des dirigeants incapables de prendre leurs responsabilités. Nous avons à de nombreuses reprises condamné des comportements indignes (irrespect, insultes, silence pendant l'hymne), symboles d'une "racaillisation" du football français et des centres de formation.

Aujourd'hui, nous lançons une campagne "Samir Nasri", qui incarne avec d'autres cette génération de joueurs qui bafouent l'image de la France. Samir Nasri est l'archétype de ces joueurs parvenus et arrogants, prenant de haut le public et les journalistes, ou encore ricanant lors de la minute de silence dédiée à Thierry Roland.

 

nasri-bloc-identitaire(2)

 

A l'humiliation en Afrique du Sud succède la débandade ukrainienne. Le Bloc Identitaire demande aux dirigeants français de faire fi du politiquement correct et leur transmet ce message au nom de la majorité silencieuse des Français qui en ont ras le bol d'être la risée du monde entier, en exigeant la mise à l'écart définitive de cette équipe de tous les joueurs aux comportements inadaptés.

 

Les sanctions, ça suffit... Place aux expulsions : Nasri, dehors !

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19 juin 2012 2 19 /06 /juin /2012 17:38

 

L’Afrique, depuis la décolonisation, n’arrive toujours pas à se stabiliser politiquement et à décoller économiquement. L’Europe, une nouvelle fois, est mise en accusation. Du fait de son ancienne politique colonialiste discriminatoire, de son enrichissement soi-disant dû à l’exploitation des ressources naturelles de ses colonies, l’Occident européen porterait une responsabilité majeure dans les crises successives qui affaiblissent jour après jour les pays du continent africain. Cette version officielle, qui serait à l’origine du malheur africain selon les adeptes du culte de la repentance, est la théorie que nous enseignons avec conviction à nos enfants. Devant ce constat, il est plus simple pour la majorité des dirigeants africains de chercher un bouc émissaire au-delà de leurs frontières afin d’expliquer leurs échecs successifs, plutôt que d’avoir une attitude responsable. Au lieu d’analyser les multiples causes de leurs véritables problèmes, nombreuses sont les nations, anciennement colonisées par l’Europe, à crier au scandale et à attendre du vieux continent honni qu’il débloque les nombreuses subventions qui seront finalement détournées pour l’unique profit de notables locaux, sous le regard approbateur et complice de l’oligarchie mondiale. Dans cette habitude d’assistanat, l’Europe se complaît à plaider coupable. Sa générosité, qui apparait surtout comme une démonstration de faiblesse et de lâcheté, devient un frein au développement du continent africain. Le journaliste Mohammed Al-Haddoud a très bien décrit ce mécanisme de la victimisation du fait colonial, dans un article du quotidien Al-Hayat, repris par le Courrier International du 1er février 2007: « Le complexe de supériorité (des européens rêvant d’exporter leur mission civilisatrice) s’est mué en culpabilité et en besoin de faire repentance. Dans cette perspective, l’Occident ignore le discours hostile qui le vise, à moins qu’il ne se confonde en excuses… A y regarder de près, il apparait que c’est l’Occident lui-même qui a forgé ce sentiment de culpabilité. Il est le fait de sa propre intelligentsia. » Plus loin dans son article, il parlera « d’une culture de l’auto-flagellation et de mea-culpa. »

 

Comme nous le dit Pascal Bruckner dans son ouvrage La tyrannie de la pénitence; « naître européen, c’est porter sur soi tout un fardeau de vices et de laideurs qui nous marquent comme des stigmates, c’est reconnaître que l’homme blanc a semé le deuil et la ruine partout où il a posé le pied. » Coincé dans cette dynamique de repentance et de culpabilité, le peuple français, désorienté face à autant d’attaques, ne trouve pratiquement plus la force et ni la volonté de dire « assez » ! Car pour pouvoir se défendre et s’affirmer, il faut d’abord savoir qui nous sommes et être fiers de ce que nous sommes. L’Occident n’a jamais été autant remis en cause et attaqué sur son Histoire et pourtant il est bien souvent le premier bailleur de fond de ses propres accusateurs. Lorsque nous assistons à un léger sursaut d’orgueil de sa part, l’indignation mondiale, avec la complicité de nos élites politiques, économiques et médiatiques, nous contraint à baisser de nouveau la tête pour rester enfermés dans le rôle de l’éternel coupable.

 

Aigues Mortes

 

 

Dans l’adversité, pour beaucoup d’entre nous, il est plus simple de courber l’échine et d’attendre que l’orage passe. Ce n’est ni très glorieux ni très courageux. Pourtant, c’est de cette façon que la France s’exprime face à son Histoire et c’est aussi de cette façon que ses ennemis la perçoivent: peureuse et docile, prête à se soumettre à celui qui aura le culot de le lui demander. Aujourd’hui, il est grand temps de remettre les pendules à l’heure. L’Occident européen ne doit plus prétendre détenir la vérité avec sa doctrine des Droits de l’Homme (message égalitariste à vocation universelle). Il doit catégoriquement refuser, sans aucune négociation possible, tout ce qui remet en cause, sur son propre territoire, son Histoire, ses principes, ses traditions et ses coutumes.

 

 

 

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16 juin 2012 6 16 /06 /juin /2012 23:39

Soirée spéciale législatives dimanche 17 juin à partir de 18h à la Traboule !

 

fly2

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 21:18

Qui peut encore ignorer cette rivalité qui oppose Stéphanois et Lyonnais ? Elle est tellement ancrée et chevillée aux corps de beaucoup d’entre nous que nous avons l’impression qu’elle se transmet génétiquement. Vous êtes Stéphanois de naissance, vous devez être anti-lyonnais ! C’est la même affaire sur les bords du Rhône. Vous naissez gone, vous devenez anti-gagas ! En évoquant cette vraie rivalité entre Saint-Etienne et Lyon, nous ne pouvons guère éviter de tomber dans ces clichés véhiculés de façon volontaire par les deux camps pour ainsi mieux marquer la différence des deux villes. A l’esprit, me viennent les descriptions hâtives qui opposent, depuis la révolution industrielle, la cité ouvrière, « Sainté, » à la ville bourgeoise et cossue de Lyon. Le foot, par le biais des deux grands clubs de la région, l’ASSE et l’OL, n’a fait que cristalliser la rivalité existant entre les deux villes. Les groupes de supporters, qui sont bien souvent les derniers gardiens de l’âme et de l’identité de leurs clubs, expriment le mieux et le plus fortement cette opposition que certains osent parfois avec timidité faire remonter à la période médiévale. Nous pouvons nous retourner vers les XIème et XIIème siècles pour mieux comprendre pourquoi Foréziens et Lyonnais ne s’aiment plus. Les nombreux conflits qui opposèrent les comtes de Forez et les archevêques de Lyon peuvent imager, d’une certaine façon, cette hostilité qui demeure marquée encore aujourd’hui. Il suffit d’être présent à Geoffroy Guichard ou à Gerland un soir de derby pour voir les tribunes populaires se transformer en camp retranché. Au dessus des têtes de supporters survoltés, volent au vent les blasons des groupes d’ultras, du Forez, de Saint-Etienne, de Lyon et de l’OL. Chaque camp possède ses chants le rattachant à une longue histoire. Les Stéphanois s’identifient avec fierté au passé minier de leur ville pendant que les Lyonnais s’enorgueillissent du prestige national et international de leur cité. Tout ceci nous donne l’impression que deux mondes s’affrontent et pour beaucoup c’est ce qui fait le charme du derby.

Malheureusement, pour certains, il arrive que le derby dure toute l’année. La rivalité se transforme en haine. Avec le temps, nous arrivons à ne plus voir les priorités et nous restons focalisés sur les différences qui opposent Lyon à Saint-Etienne, le Lyonnais au Forez. Pourtant, qu’on le veuille ou non, ces deux pays ont une histoire commune, faite de passions, d’ententes, de déchirures. A plusieurs reprises, Foréziens et Lyonnais, malgré les difficultés, ont combattu côte à côte : contre les « Tard-Venus » à Brignais en 1362, pour s’opposer à la dictature de la Convention en 1793…. Face à l’adversité, quand bien même le combat semblait perdu d’avance, l’intérêt régional ou national a bien souvent dicté à nos ancêtres que l’union prime sur la division.

 

Depuis quelques mois des incidents sérieux ont durci un peu plus la rivalité entre les deux partis. Le comportement de certains joueurs de l’OL à l’Hôtel de ville de Lyon et le pétard lancé par un supporter stéphanois sur un joueur lyonnais sont des faits qui restent anecdotiques dans la longue confrontation qui oppose ces deux clubs et nos deux régions

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                   Crédit photo: Pilgab

 

 

Le désir d’en découdre, ravivé chez quelques supporters, ainsi que la volonté de ne rien lâcher et de rendre coup pour coup, ne font qu’alimenter la rage qu’éprouvent certains stéphanois et certains lyonnais. Malheureusement, ce sentiment de rage est susceptible de créer des dérapages tragiques plus que fortement attendus par la Ligue professionnelle de football, impatiente d’arriver à ses fins d’ici l’Euro 2016 ; c’est à dire dissoudre tous les groupes de supporters ne respectant pas les règles du « foot business ». 

Aujourd’hui, la France est confrontée à des crises majeures (identitaire, économique, immigration de peuplement et de remplacement, islamisation…). Dans cette période trouble, il est plus que raisonnable de laisser la politique en dehors des stades mais il est aussi judicieux de savoir reconnaître ses véritables ennemis. Le derby est et restera unique pour tous les véritables amateurs de ballon rond mais l’amour que l’on ressent pour le Forez, le Lyonnais et la France doit pouvoir transcender nos différences et nous pousser à nous unir pour que demain notre Histoire continue de s’écrire dans le respect des grandes traditions et des principes européens. Foréziens et Lyonnais, nous sommes tous des descendants des Ségusiaves, de paysans et d’ouvriers, qui devraient être prêts à se dresser ensemble contre ceux qui souhaitent nous asservir.

 

 

 

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