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5 décembre 2012 3 05 /12 /décembre /2012 22:40

profanationUne église vandalisée et profanée à Lyon, dans le 9ème arrondissement

Sous le titre « Les voleurs s’en prennent à une église », le Progrès de Lyon du 30 novembre 2012 a publié ce communiqué anodin dans la rubrique « faits divers » :

« Un ou plusieurs individus ont fracturé une porte donnant sur une église du 9 ème arrondissement avant de pénétrer à l’intérieur et de dérober divers objets. Les faits ont été commis les 25 et 28 novembre. Le ou les auteurs, qui n’ont pas été identifiés, ont aussi dégradé deux tabernacles. L’enquête est en cours ».

Cette information a failli passer inaperçue. Or, à la fin de l’office du dimanche 2 décembre, le curé de Saint-Cyr-au-mont d’Or annonce aux paroissiens que l’église de Saint-Rambert ( située dans le 9ème arrondissement et dont il a également la charge –ndlr) a été vandalisée, saccagée et gravement profanée.

Renseignement pris par téléphone auprès du service communication du diocèse de Lyon, il s’agit bien de la même église. Aux questions posées il a été répondu qu’il n’était pas question d’en dire plus pour l’instant, mais que l’affaire était très grave et ferait l’objet d’un communiqué ultérieur.

Sachant qu’une information relative à un tag sur une mosquée ou une synagogue prend immédiatement une ampleur nationale dans les médias, on peut s’interroger sur les raisons de la discrétion des autorités religieuses et du communiqué de presse du 30 novembre.

Affaire à suivre donc.

 

Cliquez pour voir toutes les profanations.

 

brule-ton-eglise.jpg

 

* Les photos sont des archives et n'ont donc rien à voir avec l'article.

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4 décembre 2012 2 04 /12 /décembre /2012 20:57

equipe-de-France.jpgL’actualité est vraiment pleine de surprises. Suite aux évènements qui déchirent une fois de plus le Proche Orient, une soixantaine de footballeurs professionnels ont adressé une lettre à l’UEFA pour protester contre la décision de confier à Israël l’organisation de l’Euro-2013 des moins de 21 ans.  Ces stars du ballon rond « estiment que l’instance européenne du football ferme les yeux sur la récente offensive israélienne sur la bande de Gaza. » Ils se sentent obligés de protester contre ce qu’ils considèrent comme un scandale. Ils désirent apporter leur soutien aux Palestiniens en exprimant leur «  solidarité avec le peuple de Gaza » qui selon eux « vit depuis trop longtemps en état de siège. » Ils souhaitent dénoncer « les derniers bombardements israéliens sur Gaza. » Ces assauts, qui ont provoqué la mort d’une centaine de civils, « ont été une nouvelle offense à la conscience du monde. » Face à cet engagement aussi virulent, nous pouvons être étonnés de voir enfin nos footballeurs s’intéresser au monde qui les entoure ! Malheureusement, nous connaissons tous ces joueurs de la nouvelle génération. Depuis la coupe du monde en Afrique du Sud et le dernier Euro en Ukraine, nous savons tous comment se comportent nos footballeurs et ce qu’ils sont. A l’image des nouveaux parvenus de nos sociétés multiculturelles, ils s’engagent et se prononcent selon le politiquement correct. La grossièreté et le narcissisme font souvent parti de leurs traits de caractère. Le mépris leur sert souvent de moyen d’expression. Qu’ils prennent position pour la Palestine du Hamas n’est pas surprenant puisque l’ensemble de nos médias et un grand nombre de nos élites le font aussi. Ayant souvent épousé la mode « racaille »,  certains footballeurs se sentent plus proches d’un mouvement islamiste comme le Hamas plutôt que d’un Etat démocratique. Je comprends que l’on puisse critiquer la politique d’Israël au Proche Orient mais je suis toujours stupéfait que l’on puisse innocenter avec une aussi grande mauvaise foi la folie d’un groupe islamiste aussi violent, mis en place par une population qui soutient en grande majorité les actions guerrières de ce même parti qui permet bien souvent à l’état hébreu de passer à l’offensive. Que l’on soutienne Monsieur Abbas, en Cisjordanie, dans sa volonté de négociation, me paraît louable mais taire les crimes du Hamas juste pour adhérer à la cause antisioniste chère à la gauche occidentale et au monde islamique c’est tout bonnement dangereux. De là à dire que nos footballeurs servent d’idiots utiles à une idéologie qui les dépassent…

Mais si nous suivions leur logique, nous serions en droit de remettre en cause le prochain mondial organisé au Qatar (la coupe du monde 2022 devrait se jouer au Qatar). Etant donné que les pétrodollars de ce pays servent trop souvent de moyen de financement à de nombreux réseaux islamistes, nous pourrions également demander à la FIFA d’annuler l’organisation de cette prochaine compétition. Mais en partant de ce principe, il va être difficile de trouver un pays qui n’a pas quelque chose à se reprocher ! Autant dire qu’il ne va pas être facile pour nos footballeurs de trouver un employeur. Car entre l’argent sale des nouveaux investisseurs du foot moderne et le manque de scrupules de nos sportifs à aller jouer dans des championnats dits « exotiques », sans se demander si les droits de l’homme y sont vraiment respectés, il ne va pas leur rester grand chose. Dommage, il aurait été agréable de voir un Jérémy Ménez, qui demande de boycotter l’Euro des espoirs en Israël, renoncer à son salaire au PSG en ayant le courage de dénoncer la main mise du Qatar sur un grand nombre de symboles du patrimoine français. Par la même occasion, il pourrait également critiquer la volonté de ce pays islamique à financer des associations communautaristes dans nos banlieues avec le risque d’affaiblir la cohésion de notre nation.

Mais n’exagérons pas, ne demandons pas à nos « stars engagées » l’impossible. Eloignons-nous de ces polémiques pour nous concentrer sur l’essentiel : l’arrivée du Derby ! Car dans ce monde où le foot populaire n’existe plus que dans le cœur des supporters, le derby qui oppose l’ASSE à l’OL reste l’un des derniers rendez-vous incontournable du foot français !

                                          

Vincent.                                                                                                                                                                         

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1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 20:25

De notre Histoire, nous avons hérité de plus de 36000 communes réparties sur 22 régions. Tous ces villages et toutes ces villes ont un point en commun. Ils se sont tous développés autour de leurs églises souvent bâties sur des lieux de culte païens bien plus anciens. Raoul Glaber, chroniqueur de l’an mille, nous fait découvrir l’élan qui anima ses contemporains: " presque sur toute la terre, surtout en Italie et dans les Gaules, on se mit à reconstruire les églises. Bien qu’elles fussent dans un état convenable et n’en eussent pas besoin, on vit cependant le peuple chrétien tout entier rivaliser pour la possession des églises les plus belles. Et ce fut comme si le monde lui-même, secouant les haillons de sa vieillesse, se couvrait de toutes parts d’une éblouissante robe d’églises. Alors à l’initiative des fidèles, on reconstruisit plus belles presque toutes les églises, des cathédrales aux monastères dédiés aux divers saints et jusqu’aux plus petits oratoires des villages."  [1]

Que ce temps nous parait loin ! Nous voyons des peuples d’Europe bâtir, sur un héritage religieux enraciné dans chaque village, le monde de demain. A travers ce texte, nous sentons les aspirations et les préoccupations de nos ancêtres. Leur regard était tourné vers les cieux. Leur savoir faire nous a transmis les plus beaux édifices de notre patrimoine. La période que nous nommons Moyen Age et que nous décrivons comme obscure nous apparaît vivante et remplie d’espérance. Il suffit d’admirer la grandeur et la beauté des cathédrales pour nous rendre compte de la richesse créative de cette époque.

St-bernard.jpg

Les grandes villes rivalisaient entre elles et les villages entre eux. Malgré les diversités architecturales, ces constructions dégageaient néanmoins une unité, symbole d’une civilisation. En dépit de l’essor des villes au XIIIème siècle, il fallut attendre le XIXème siècle et la première grande révolution industrielle pour assister à une première fracture dans le développement urbain. Les intérêts économiques ont pris de plus en plus d’importance dans nos décisions politiques. Nos espérances, nos besoins et nos attentes se modifièrent. Les cités ouvrières, à l’image des corons dans le nord de la France, vinrent entourer les villes plus anciennes. Néanmoins, le diktat de l’économie n’estompa ni la misère, ni les soucis du quotidien. L’Homme pensait posséder son destin et remplaça Dieu par des idéologies mortuaires (nazisme et communisme). Le messianisme (attente du Messie) céleste fut remplacé par le messianisme terrestre. Hitler et Staline furent des enfants de ce nouveau monde. L’horreur de la Seconde guerre mondiale poussa l’Europe à se retrouver et à vivre en paix autour d’un projet commun.

Malheureusement, l’Union Européenne, nécessaire aux peuples d’Europe, commença sa reconstruction en privilégiant l’unique aspect économique tout en reléguant la géopolitique en arrière plan et en se soumettant à deux forces étrangères : les Etats-Unis et l’Union soviétique. Notre territoire évolua lui aussi dans le mêmes sens en oubliant une juste répartition des richesses. De cette façon, dans les villages de France, les anciens assistèrent aux départs des plus jeunes vers les nouvelles agglomérations en attente de main d’œuvres. Des milliers de nos villages continuèrent de se dépeupler au point de voir plus de noms gravés sur les monuments aux morts de la Guerre 14-18 que d’habitants encore présents. Ce que nous avions construit avec patience nous l’avons détruit en quelques décennies. Les Trente Glorieuses furent les années de la reconstruction, de l’enrichissement par le travail, de l’arrivée des nouvelles technologies au sein des foyers, de l’augmentation des loisirs et des vacances mais aussi de la remise en cause des valeurs morales devenues souvent trop rigides et contraignantes. Mais d’un désir de liberté et d’un mieux vivre au quotidien est née une utopie du progrès, source exclusive du bonheur et qui transforma radicalement les normes sociales alors établies. La révolution juvénile de 1968 aboutit uniquement à ce message de béatitude: « il est interdit d’interdire. » Désormais, les investissements de cette nouvelle société en gestation sont tournés exclusivement vers les loisirs. Les centres commerciaux remplacent nos églises en fédérant des quartiers sans âme. L’économie aurait dû permettre l’épanouissement des individus. Aujourd’hui, nous constatons un échec. D’une société industrielle nous sommes passés à « une société dépressive » en perte d’identité.

 

[1] Traduction de Mathieu Arnou aux éditions Brepols.

 

Vincent.

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[1] Traduction de Mathieu Arnou aux éditions Brepols.

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27 novembre 2012 2 27 /11 /novembre /2012 22:06

L’article qui suit est un premier coup de gueule et une réaction suite à un amalgame journalistique épuisant. Cet amalgame, volontaire ou fruit d’une incompétence et d’un manque de rigueur, qui fait que les Fafs types JN et GUD et autres groupuscules nationalistes se retrouvent étiquetés « identitaires » dans la presse. Et évidemment les articles où ils apparaissent ne sont pas là pour faire des éloges. Tout cela m’a fait réfléchir si on pouvait taxer les identitaires de nationalistes. Je vous livre ma réflexion.

 

France

 

Marine Le Pen disait il y a peu sur BFMTV qu’elle ne pouvait pas faire d’alliance électorale avec les identitaires « pour une raison simple c'est qu'ils sont européistes, (...) régionalistes, et ils contestent le rôle fondamental que j'accorde, moi, à la Nation qui est l'élément central du programme, du mouvement que je dirige ». Je n’aime pas beaucoup les mots en « isme », car souvent cela cache des raccourcis intellectuels. Oui je défends une Europe telle que nous l’ont livrée nos pères et dont nous tirons notre culture : c’est notre identité civilisationnelle. Oui je défends nos régions qui sont nos « pays réels », là où notre peuple vit avec ses coutumes, ses traditions, ses langues : c’est notre identité charnelle. Mais je n’oublie pas notre identité historique qui plonge ses racines dans la France. Ce triple enracinement explique notre lutte contre le jacobinisme que défend Marine Le Pen. La centralisation des pouvoirs fait que les institutions qui nous « gouvernent »sont en grande partie déconnectées de la réalité du terrain. Cette France issue des Lumières nie les libertés ancestrales de nos régions qui ont fait la France depuis Clovis.

 

Plus qu’une nation (communauté politique abstraite avec laquelle les liens sont abstraits), je défends une patrie (le lieu de naissance de l'individu, sa communauté : des paysages, des églises, sa maison…). Je suis avant tout un patriote, mais je me sens nationaliste dans le sens où l’entend Guillaume Faye. Selon lui, le nationalisme, comme concept, doit changer de sens, c’est-à-dire revenir à une dimension ethnique en retrouvant ses sources étymologiques. Justement, une « nation » est une communauté populaire et politique de même origine ethnique, de même « naissance ».

 

Je laisserai le mot de la fin à Dominique Venner qui explique mieux que quiconque ce qu’est NOTRE nationalisme (ces lignes sont tirées de Cœur rebelle) : « Notre nationalisme, terme impropre, était beaucoup plus qu’une doctrine de la nation ou de la préférence nationale. Il se voulait une vision du monde, une vision de l’homme européen moderne. Il se démarquait complètement du jacobinisme de l’Etat-nation. Il était ouvert sur l’Europe perçue comme une communauté des peuples. Il voulait s’enraciner dans les petites patries d’une « Europe aux cent drapeaux ». (…) Nous imaginions cette Europe charpentée autour du noyau de l’ancien empire franc, un espace spirituel, politique et économique suffisamment assuré de soi pour ne craindre rien de l’extérieur. »

 

Louis de Brem

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 21:38

EuropeAujourd’hui, en France, être Français ne veut plus dire grand-chose. Cela fait plus de trente ans que nos politiques et nos médias nous disent que nous sommes tous des citoyens du monde. De cette façon, ils légitiment et justifient leur idéologie qui ne fait que défendre les principes du multiculturalisme. Ils ont bradé notre nationalité en la donnant sans contrepartie. Peu importe que notre pays devienne une expérimentation à risque. Peu importe que la diversité, si chère à nos dirigeants, tende à nous exposer au communautarisme sectaire et violent. L’utopie du bien vivre ensemble prime sur tout !

Alors que reste-t-il aux Français de souche européenns ? Doivent-ils accepter cet état de fait ? Ils ont le choix. Beaucoup ne le savent pas, par paresse ou par le «  je m’en  foutisme ». Ils préfèrent se dire qu’ils ne peuvent rien à tout ça. Ils préfèrent baisser les bras et adopter une posture fataliste. Pourtant, chacun a le choix de sa vie. Tout est possible ! Regardons autour de nous. Certains ont choisi d’être de véritables acteurs de la société de consommation en menant une vie basée sur l’égoïsme, les futilités et le profit individuel. D’autres ont adopté le comportement des « racailles »à l’instar de ceux qui nous polluent l’existence de peur de devenir « has been ». Certains ont épousé le look des hippies « crapouillots » et n’ont que pour seule idéologie la dépénalisation de leur cher cannabis. Il y a aussi les bobos, donneurs de leçons toujours prêts à aider la terre entière du moment que leur quotidien n’en pâtit pas… N’oublions pas les républicains, attachés aux vertus « liberté, égalité, fraternité » mais qui n’hésitent pas à inscrire leurs enfants dans des écoles privées. Nous avons aussi les communistes sincères, attachés au concept de lutte des classes, prêts à brader les nations pour une nouvelle internationale, sans se rendre compte que c’est aussi le but des capitalistes. Il y a les extrémistes de gauche, prêts à jouer les idiots utiles d’un système qu’ils détestent, mais aussi des socialistes, regroupés comme des apparatchiks derrière un parti sclérosé par des affaires de corruption, des gaullistes, fiers comme des coqs qui ont trahi depuis longue date leur mentor, des royalistes, toujours divisés entre orléanistes et partisans des Bourbons alors que le dernier roi de France a dû abdiquer en 1848, des laïcs vertueux attachés à la sécularisation du pouvoir, héritiers des préceptes de la révolutions de 1789 mais trop souvent aveugles devant la véritable menace de l’islamisation de notre pays à l’instar de certains chrétiens « crétins », des anarchistes et alter-mondialistes, prêts à renverser l’ordre établi mais trop souvent instrumentalisés par des mouvances gauchistes qui ne font qu’obéir aux lois des marchés, suivant bêtement la pensée mondialiste. Nous pouvons aussi rencontrer des nationalistes, attachés viscéralement à la terre de leurs pères, mais qui ont oublié que le nationalisme est l’une des causes de l’effondrement de leur civilisation au XXème siècle...,etc. Nous avons tous le choix. Notre vie n’est pas écrite à l’avance.

 

europe antique 

Nous, identitaires, avons fait le choix de défendre notre civilisation. Nous croyons que nos identités régionales et nationales ne doivent pas être déconnectées du socle sur lesquelles elles sont nées : l’Europe. Il est grand temps que les Européens prennent conscience qu’ils sont membres d’une seule et même famille. La division a souvent affaibli les nations européennes. Devant les nombreuses menaces du monde moderne, il est important que les peuples d’Europe s’unissent pour à nouveau redevenir des acteurs de l’Histoire. Nous ne parlons pas de cette Union européenne, gouvernée par des technocrates, déconnectés de nos intérêts. Nous pensons à une Europe forte, enracinée dans ses traditions, ses principes et ses coutumes. L’Europe n’est pas la mort des terroirs, des provinces, des nations, au contraire elle est la source de ce que nous sommes. Nous menons un combat pour l’unité des peuples européens et contre la mondialisation, l’immigration de remplacement, l’islamisation de notre continent et la centralisation des pouvoirs. Liberté est pour nous plus qu’un simple mot ! Nous sommes nés libres de dire non à ceux qui veulent détruire ce que nos pères ont construit. La France ne se résume pas à la Vème République. Nous sommes les héritiers d’une longue Histoire qui est loin d'être finie.

 

Vincent

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 22:57

camus.JPG

logements sociaux le grand remplacement c'est maintenant

 

 
 

 

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 01:06

Logements-sociaux-Bientot-chez-nous.jpg

 

 

Logements-sociaux-une-chance-pour-nos-quartier-.jpg

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22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 22:18

chreteins-dOrient.jpgTout est fait pour rabaisser et discréditer l’Occident. Nos enfants, depuis plusieurs décennies, apprennent, génération après génération, que la philosophie de l’Antiquité nous a été transmise seulement au XIIIème siècle par les savants arabes. Qui écoute les nombreux médiévistes reconnus, comme Jacques Heers, nous dire le contraire ? Dans la Nouvelle Revue d’Histoire de mars 2007, il s’étonnait que « les livres pour l’enseignement secondaire et les publications destinées au grand public s’appliquent à faire croire » ce mensonge. Il ajoutait que « tout cela est à revoir et que les textes de l’Antiquité ne furent jamais, à aucun moment, ignorés des lettrés en Occident, des écoles cathédrales puis dans les toutes premières universités. » Depuis, l’ouvrage Aristote au Mont Saint-Michel de Sylvain Gouguenheim, paru en 2008, est venu contredire directement l’idée « que l’Occident a découvert le savoir grec au Moyen Âge, grâce aux traditions arabes. » Il nous démontre au contraire que « du VIIème au Xème siècle la science arabo-musulmane du Dar al-Islam (Terre d-Islam) fut en réalité une science grecque par son contenu et son inspiration, syriaque puis arabe par sa langue. La conclusion est claire: l’Orient musulman doit presque tout à l’Orient chrétien. Et c’est cette dette que l’on passe souvent sous silence de nos jours, tant dans le monde musulman que dans le monde occidental. »

Allons-nous continuer longtemps à emprunter les chemins de l’autodénigrement et de la complaisance mielleuse avec l’islam ? Il est grand temps aujourd’hui de dire merci aux communautés chrétiennes d’Orient qui, par leur attachement aux savoirs de la Grèce antique, ont largement contribués à la transmission de nombreux livres. A l’heure où ces Chrétiens d’Orient connaissent les plus grandes difficultés, violences et discriminations, ce n’est que justice de leur rendre hommage.

 

Vincent.

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19 novembre 2012 1 19 /11 /novembre /2012 21:39

islamL’Islam est la seconde religion monothéiste au monde mais aussi de France. Depuis le début des « règnes » catastrophiques de nos présidents Giscard et Mitterrand, plus de 5 millions de musulmans ont obtenu la nationalité française. Désormais, la plus forte communauté musulmane d’Europe se trouve en France ! Jamais les fidèles de Mahomet n’avaient été aussi nombreux sur notre territoire depuis les conquêtes islamiques du VIIIème siècle. A cette époque mérovingienne, le duc Eudes d’Aquitaine et le maire du palais Charles Martel avaient dû s’interposer militairement pour protéger les Gaules d’une invasion musulmane. Déjà, l’islam cherchait à conquérir le monde par les armes. Qu’en est-il aujourd’hui ? Devant la violence des islamistes, animés par la même foi que celle des conquérants qui servaient les premiers califes, nos partisans de la société multiculturelle nous déclarent qu’il n’y a pas de crainte à avoir. Il est vrai que ces « fous d’Allah », qui égorgent et qui tuent tout ce qui ne leur ressemble pas, ne sont qu’une minorité dans la grande communauté islamique et ne représentent en rien la majorité des vrais croyants musulmans. Mais cette vérité n’a pas empêché une autre réalité de s’exprimer clairement. En Tunisie, en Lybie et en Egypte, les partis islamistes ont remporté avec succès les premières élections libres de ces trois pays à majorité musulmane. Face à cette volonté légitime des musulmans de renouer avec leurs traditions islamiques, nos médias occidentaux nous expliquent avec mauvaise foi que les islamistes de Tunis, de Tripoli et du Caire ne sont que des modérés. De cette façon, nous évitons de regarder la vérité en face ; les peuples musulmans, dans leur grande majorité, ne veulent pas du modèle démocratique européen car ce dernier est profondément étranger à leur culture. Nous ne voulons pas entendre ce message car ce dernier remet directement en cause notre nouveau mode de société basé sur le cosmopolitisme.

 

islam-copie-1

 

De cette façon, nous taisons le plus souvent les crimes commis au nom de l’islam ainsi que le souhait des musulmans à vouloir vivre selon la « charia » pour ne pas avoir à nous remettre en cause. Accepter de comprendre que la civilisation européenne est radicalement différente de la civilisation islamique, c’est prendre conscience que notre société multiculturelle n’a aucun avenir en dehors d’un communautarisme violent. Naïvement, nous pouvons nous raccrocher à cette utopie du bien vivre ensemble mais les nombreux massacres commis sur les cinq continents au nom de l’islam devraient nous permettre de voir que les attentes d’un musulman ne sont pas celles d’un européen. Notre dogme absolu des Droits de l’Homme ne les intéresse pas et les irritent profondément. Ils n’en veulent pas car leur vision du monde diffère de la nôtre et c’est leur droit le plus élémentaire. Par contre, face aux monstruosités commises au nom de Mahomet et d’Allah, personne, en Europe, ne devrait rester insensible à ces drames. Même en pratiquant la politique de l’autruche, les crimes actuels de l’islam devraient nous interpeller et nous choquer tellement ils sont nombreux ! Pourtant, en France, quelques mois après le drame de Toulouse, nous avons déjà oublié que des enfants ont été tués au nom de la grande cause islamiste. Pour mieux refouler ce drame qu’a connu notre nation, nous avons déjà classé dans les faits divers ce crime abject. Avec ce comportement lâche et inadmissible, ne croyons pas que nous serons à l’abri éternellement. Un jour, il nous faudra être responsable.

 

Vincent

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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 22:41

Pas de grasse matinée pour les militants du Bloc Identitaire Lyon.

 

•40 ans d’« antiracisme », c'est 40 ans de haine contre notre identité.

•40 ans d’« antiracisme », c'est 40 ans de haine des Français.

•40 ans d’« antiracisme », c'est 40 ans de propagande anti-française.

•40 ans d’« antiracisme », c'est 40 ans sans parler du racisme anti-blancs !

 

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